Carrefour et Intermarché sont partis en guerre contre la 'réduflation ' ou ' shrinkflation', pratique consistant à réduire la quantité de produit en augmentant les prix, mettant les clients de leur côté.
Carrefour et Intermarché sont partis en guerre contre la "réduflation " ou " shrinkflation", pratique consistant à réduire la quantité de produit en augmentant les prix, mettant les clients de leur côté.
" C’est clair qu’aujourd’hui, j’achète moins et je paye plus. Il y a un an, c’était 120 € par semaine sans la viande, maintenant c’est 210 € en moyenne et ce sont les grandes marques qui ont réduit leur grammage. Maintenant, je prends la marque de l’enseigne ", souligne-t-il, sur le parking du Carrefour de Portet-sur-Garonne , se félicitant de voir signalées en rayon les pratiques de " shrinkflation ".
Une bouteille de soda dont le prix au litre augmente de plus de 40 %, alors que la contenance est passée de 1,5 à 1,25 l ; une barquette de glace dans un plus petit conditionnement mais à + 30 % ou du chocolat « suisse » qui perd 20 g mais gagne une étiquette en hausse de 20 %… "Il n’y a aucun intérêt pour l’industriel à expliquer qu’il a augmenté son prix, donc on se substitue à lui et on l’assume ", explique sur TF1Thierry...