Des fonctionnaires pourraient être mis au chômage temporaire ou être contraints de travailler sans salaire dès dimanche.
Bientôt licenciés temporairement ou contraints de travailler sans salaire, des fonctionnaires aux États-Unis ont reçu jeudi 28 septembre des notifications officielles sur la paralysie du budget de l'État fédéral, qui commencera dès dimanche si les élus du Congrès ne parviennent pas à s'entendre.«shutdown»
«Les employés désignés et prénotifiés seraient temporairement mis au chômage technique, ce qui signifie qu'ils ne seraient pas autorisés à travailler ou à utiliser les ressources du ministère» «une réduction des effectifs dans presque toutes les divisions pendant toute la durée de cette période»«Bon nombre de nos programmes et activités les plus essentiels se poursuivraient mais avec un personnel réduit»«nos militaires seraient obligés de continuer à travailler mais le feraient sans salaire, et des milliers de leurs collègues civils seraient mis au chômage», a-t-elle ajouté,Trafic aérien...
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États-Unis : Donald Trump zappe le débat des Républicains pour courtiser les grévistes du MichiganDonald Trump continue de faire parler de lui. Alors qu'un débat télévisé avec tous les candidats à la primaire des Républicains était organisé ce mercredi soir, l'ex-président a finalement décidé de faire faux bond pour organiser un meeting dans le Michigan. Malgré ses condamnations, Donald Trump est en très bonne position dans les sondages.
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Etats-Unis : Trump estime que les discussions entre l'UAW et les constructeurs sont vainespar Nathan Layne et Kanishka Singh - L'ancien président américain a estimé mercredi lors d'un déplacement dans l'Etat du Michigan qu'un accord entre les constructeurs automobiles et les salariés en grève avait peu d'importance, la transition vers les véhicules électriques annonçant leur obsolescence. 'Ce que vous obtenez ne fait pas la moindre différence parce que, dans deux ans, vous serez tous au chômage', a déclaré Donald Trump à des ouvriers rassemblés chez un fournisseur automobile non syndiqué dans les environs de Detroit, dans l'Etat du Michigan. Donald Trump, qui a décidé de ne pas participer mercredi au deuxième débat de la primaire républicaine, a critiqué Joe Biden, qui encourage la production de véhicules électriques par des mesures incitatives. Les salariés des trois constructeurs automobiles historiques, General Motors, Ford et Stellantis, ont entamé le 15 septembre une grève à l'appel de l'United Auto Workers, qui demande une augmentation des salaires et une plus grande sécurité de l'emploi alors que le secteur effectue sa transition vers les véhicules électriques. Joe Biden s'est rendu mardi sur un piquet de grève afin de manifester son soutien aux grévistes de l'UAW. Alors que Donald Trump s'exprimait dans le Michigan, l'équipe de campagne de Joe Biden a qualifié l'ancien président de 'charlatan milliardaire' ne se souciant pas des ouvriers. Le gouverneur de l'Etat de Floride, Ron DeSantis, a dit lors du débat de la primaire républicaine que Donald Trump était 'aux abonnés absents'. Donald Trump fait figure de grand favori dans la course à l'investiture du Parti républicain pour l'élection présidentielle de novembre 2024, bénéficiant d'une avance de 37 points de pourcentage sur Ron DeSantis, son plus proche rival, selon un récent sondage. (Reportage Nathan Layne, Kanishka Singh, Jason Lange et Joe White; version française Camille Raynaud)
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Les Etats-Unis autorisent les Israéliens à entrer sur leur territoire sans visaIsraël rejoint officiellement le programme d’exemption de visa des États-Unis
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Pétrole, gaz : en 2022, les Etats-Unis sont devenus les premiers fournisseurs de la FranceLes Etats-Unis devancent désormais la Norvège et la Russie, qui fournit encore l'Hexagone en gaz à hauteur de 15%, d'après le « Chiffres clés de l'énergie 2023 » publié jeudi. Une conséquence directe du déclenchement de la guerre en Ukraine par la Russie et des embargos énergétiques décidés par les Occidentaux.
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La BCE se tourne vers l'IA pour mieux comprendre l'inflationFRANCFORT - La Banque centrale européenne (BCE) réfléchit à la possibilité de recourir à l'intelligence artificielle (IA) pour mieux comprendre l'inflation, après avoir sous-estimé les pressions sur les prix pendant des années et mis en place tardivement l'actuel cycle de resserrement monétaire, désormais le plus agressif de son histoire. Comme de nombreuses entreprises qui utilisent déjà l'IA, la BCE se penche actuellement sur les moyens de traiter et d'analyser des millions de données, y compris des informations publiques sur les prix, des statistiques d'entreprise, des articles de presse et des documents de supervision bancaire, afin de parvenir à une meilleure analyse pour ses décisions de politique monétaire. 'L'IA nous offre de nouveaux moyens de collecter, de nettoyer, d'analyser et d'interpréter cette masse de données disponibles, afin que les informations recueillies puissent alimenter les travaux dans des domaines tels que les statistiques, la gestion des risques, la supervision bancaire et l'analyse de la politique monétaire', peut-on lire dans un message publié par la BCE jeudi sur un blog. Alors que la BCE a sous-estimé pendant des années l'inflation, certains responsables de la banque ont ouvertement remis en question ses modèles et leur viabilité qui s'appuie sur des chiffres nécessitant des révisions constantes à la hausse. Parmi les différentes initiatives en matière d'IA, la banque souhaite approfondir sa compréhension du comportement de la fixation des prix et de la dynamique de l'inflation, selon le message sur le blog. En utilisant le 'web scraping', la BCE peut collecter des masses de données sur les prix en temps réel, mais les chiffres ne sont pas structurés et ne conviennent pas au calcul de l'inflation. La BCE souhaite donc exploiter l'IA pour structurer les données et améliorer son analyse. Une autre initiative consiste à automatiser le processus de classification des données de dizaines de millions d'entreprises, de banques et d'entités d
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Les distributeurs peuvent 'aller chercher des baisses de prix', juge LeclercPARIS - Les distributeurs français ont les moyens d'aller chercher des baisses de prix des produits alimentaires dans leurs négociations avec les industriels même si 80% de ces derniers se préparent à demander des hausses, a estimé mercredi Michel-Edouard Leclerc. 'On sait qu'il y a des secteurs où on peut aller chercher des baisses. Si on y va tous ensemble, ça devrait marcher', a déclaré sur franceinfo le patron des centres Leclerc alors que le gouvernement doit présenter en conseil des ministres un projet de loi pour avancer les discussions tarifaires annuelles entre les deux parties dans l'espoir d'obtenir une plus forte diminution des prix en début d'année prochaine. La hausse moyenne de 10% négociée pour 2023 a maintenu les prix alimentaires à un niveau élevé dans les supermarchés français alors même que les prix mondiaux des matières premières alimentaires baissaient fortement. La loi française prévoit une fenêtre de trois mois de négociations annuelles, ordinairement du 1er décembre au 1er mars, mais l'exécutif veut avancer la date butoir au 15 janvier. 'Il faut encore que le Parlement valide ce texte', a souligné Michel-Edouard Leclerc, 'et c'est pas gagné, parce que jusqu'ici, il n'y a pas eu d'accord entre le Parlement, y compris la majorité présidentielle, et le gouvernement.' 'Si les députés nous donnent cette nouvelle loi et plus rapidement, on a les moyens d'aller chercher des baisses', a jugé le président du groupe Leclerc, justifiant notamment son relatif optimisme par 'le rapport de force qui fait que nos marques de distributeurs aujourd'hui sont vraiment meilleur marché que les leurs'. Interrogé sur la possibilité d'un accord sur la modération des marges souhaité par Emmanuel Macron, Michel-Edouard Leclerc l'a estimé 'possible'. 'Il faut dans un premier temps qu'on renégocie, qu'on aille chercher si ce n'est des baisses, des moindres inflations pour 2024. Et je vous annonce que ça va le faire', a-t-il dit. (Rédigé par Jean-Stéphane Brosse, édité p
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