Pour Amnesty International, les travailleurs de la Coupe du monde au Qatar doivent être indemnisés. ➡️
, dans des pays aussi divers que l’Argentine, le Kenya, le Maroc, ou la France,employés sur les chantiers de la Coupe du monde à Doha.
Une main-d’œuvre bon marché venue majoritairement des pays asiatiques, dont les droits humains et sociaux n’ont pas toujours été respectés, et mérite donc des compensations financières. "Nous demandons un fonds d’indemnisation financé par la FIFA, qui va engranger près de 6 milliards d’euros de bénéfices lors de cette Coupe du monde","Nous voudrions qu’elle abonde ce fonds d’un minimum de 440 millions de dollars, montant qui correspond à l’enveloppe globale que recevront les équipes qui vont jouer au Qatar.
À la différence de la FFF, plusieurs fédérations de football ont exprimé leur soutien en faveur du principe de réparations.urLe sondage d’Amnesty Internationale révèle par ailleurs quedu Mondial au Qatar,souligne Lola Schulmann, "c’est que les personnes qui vont regarder les matchs soutiennent encore plus activement l’idée d’indemnisations des travailleurs immigrés."Amnesty International regrette que lors de l’attribution de l’organisation de la Coupe du monde au Qatar,. Depuis 2010, les autorités qatariennes ont importépour construire les infrastructures de la Coupe du monde , en plus des huit stades du tournoi.