🇺🇦 ▶️ En mars 2022, les forces russes sont entrées à Izioum. Le Washington Post publie le témoignage d’Alla, 52 ans, qui affirme avoir été torturée et violée par les soldats russes. Un document vidéo pouvant heurter la sensibilité des spectateurs. ⬇️
“ces inscriptions donneraient un jour des indices à son fils sur ce qu’elle pensait être les derniers jours de sa vie”Washington Post“Le chef m’a déshabillée, puis il a demandé à ses gars qui serait le premier à me violer. […] Je me suis dit qu’ils faisaient semblant, qu’ils voulaient juste me faire peur.”“Ils ont fini par me rendre folle, alors j’ai décidé de me pendre.
En outre, l’ONG Human Rights Watch a enquêté sur les accusations de crimes de guerre à Izioum, recueillant les témoignages de huit hommes et une autre femme détenus dans l’entrepôt attenant à la clinique pendant l’occupation russe.
“les témoignages de ce type se multiplient : les autorités ukrainiennes et les organisations de défense des droits humains tentent de documenter ces actes inhumains, dans l’espoir de traduire un jour leurs auteurs en justice”. C’est le cas notamment à Izioum, la ville de la région de Kharkiv où vivent Alla et son mari, qui a été libérée en septembre après qu’une contre-offensive ukrainienne a contraint les forces russes à battre en retraite ; mais aussi