'J'ai été choqué' de voir que la 'partie importante' de la phrase 'qui dit qu'une gifle est toujours inacceptable' ait été évincée par certains médias, a-t-il dit, ce dimanche 25 septembre, sur BFMTV.
"J'ai été choqué" de voir que la "partie importante" de la phrase "qui dit qu'une gifle est toujours inacceptable" ait été évincée par certains médias, a-t-il dit, ce dimanche 25 septembre, sur BFMTV.
Le député, très proche du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon, s'est attiré les foudres des féministes et bien au-delà après avoir dit qu'une gifle n'était "jamais acceptable" maisAffaire Adrien Quatennens : "Vous ne pouvez pas m'interdire de l'aimer", affirme Jean-Luc Mélenchon Il a toutefois refusé de qualifier de "maladresse" ses propos, expliquant qu'il y avait bien "une gradation des faits" à laquelle devait répondre "une gradation des réponses et des sanctions". "Dire ça, dire qu'il faut graduer, ce n'est pas minimiser, ce n'est pas relativiser.